Fuite éperdue de deux sylvains.

Pierre se laissa tomber de la fenêtre de la maison close, et se réceptionna tant bien que mal. Il se trouvait dans le village, dans une rue adjacente, et entendit l'Inquisiteur hurler à ses hommes de lui ramener un nécromancien.

* C'est Lucius, il a des problèmes. Boarf il s'en sortira bien, ils sont trois. Maintenant, cachons nous cinq minutes le temps que les soldats s'barrent. Connaissant Aramis, il va sûrement débarquer. Il a autant de couilles que les salariées de son"auberge". *

Pierre s'était arrêté quelques instants, pour réfléchir à une cachette. Il repéra vite un tas de paille quelques dizaines de mètres vers la droite. Le souffle court, il courut en faisant plus que jamais attention aux moindres détails qui permettraient aux soldats de le pister s'ils passaient par là. Il arriva au fétu de paille, et plongea dedans. Le tas faisait un mètre de haut, assez de quoi dissimuler un homme. Il s'assurant que la paille le recouvrait entièrement, puis il se mît à guetter, la dague à la main, prêt à jaillir en cas de besoin.

La chute d'Aramis fut quelque peu disgracieuse mais au moins, il ne s'était rien cassé, cela n'aurait vraiment pas été le moment. Après une très rapide observation, il vit qu'il était encore dans le village. Apparemment, tout les gardes étaient encore au niveau de l'auberge, autant ne pas traîner dans le coin, d'autant plus que le village n'allait pas tarder à brûler. La meilleurs chose à faire serait de trouver un couvert hors du village. Aramis se dirigea donc vers la sortie du village de la manière la plus discrète possible. Il emprunta donc les petites ruelles(passant devant un tas de paille auquel il ne prêta nulle attention), et se dépécha. Il ne croisa qu'un rat, les habitants avaient peut être fuit le village à cause des gardes? Peut être étaient ils cachés quelque part? Qu'importe, le plus important était de fuir ce village maudit au plus vite.

*Bon ,j'ai échappé aux gardes pour le moments. Je dois à tout prix sortir de ce village avant qu'il ne soi réduit en cendre.Tien, ça sent la fumée, dépêche toi Aramis, le feu doit être entrain de se répandre! *

Au bout de quelques minutes, il atteignit finalement la sortie de la ville. C'était peut être garder, après tout, les humains ont peut être prévu le coups. L'elfe resta donc dans l'obscurité de sa ruelle et regarda attentivement pour y repérer une éventuelle troupe de garde. Il ne lança pas de sort, l'inquisiteur pouvait sans doute sentir la magie en action et aurait vite fait de retrouver Aramis. Et là, s'en serait fini du petit elfe. Grace à son observation il pu voir...

... rien du tout. De toute évidence, tout ce qui restait de gardes en ville assiègaient l'auberge ou, en tout cas, allaient bientôt battre la campagne à la recherche de deux sylvains et d'un nécromanciens.

Tiens le saladier sur pattes a eu la même idée que moi. Il va de l'autre côté. ... Ça sent la fumée. Hé, pas de fumée sans feu. Je ferais bien de décamper vite fait, de plus les soldats n'ont pas l'air de vouloir se montrer. Quitte à s'enfuir, autant le faire bien. Aramis et moi, on sera plus amène de faire face aux problèmes que séparément. Les gardes vont bien rappliquer dans tous les environs quoi qu'il arrive de toute façon. Aller, vite !! *

Pierre sortit de sa cachette d'un bond, rangea sa dague, et coureur dans le village dans la direction qu'Aramis avait empruntée.

[ Petit post, il n'y avait pas grand chose à dire. ]

Par chance, la sortie du village n'était pas gardée, les humains étaient sans doute tous autours de la taverne pour l'arrestation de Pierre et d'Aramis. Peut être qu'ils penseront que les deux sylvains sont mort dans l'incendie et l'explosion de la maison close, ça serait idéal pour disparaître discrètement, mais Aramis n'y croyait pas beaucoup. L'odeur de fumée qui régnait dans l'air tira le magicien de ses pensées, il fallait faire un choix: sortir tout de suite ou attendre? Pensant que ses amis étaient déjà loin de lui, il sélectionna la première solution et s’apprêta à sortir de sa cachette. Mais, au moment où il allait commencer à courir, il entendit un bruit venant de derrière lui, quelqu'un venait. Il était tétanisé, tout ça, c'était trop pour lui, il ne pouvait plus bouger pensant que sa dernière heure avait sonner.

*C'est fini, mon destin était donc de périr ici? Dommage, j'aurais tellement voulu continuer de voyager avec mes amis. Llyk, Lucius, Boby Oryll. J’espère que vous allez bien et... tien, mais on dirait... BOBY!!*

Quelle ne fut pas le soulagement du petit elfe quand il vit que la personne qui le suivait était son confrère sylvain. L'envie de lui sauter au cou apparue mais il prit conscience que ce n'était pas du tout le moment pour les banalités habituelles. Il s’adressa au dénommé Boby :

"Content de te revoir, mais on doit partir, j'ai mis le feu à l'auberge. Ce village va finir en cendre et nous avec si on ne bouge pas. Il n'y a personne pour garder la sortie, allons y!"

Il vérifia une ultime fois s'ils pouvaient sortir sans risque et, une fois qu'il eu confirmation que la voie était libre, lança un regard à son ami qui voulait dire: c'est le moment! Le sylvain commença donc une fuite éperdue en dehors du village. Une fois à l’extérieur il observa les alentours pour y voir qu'elles étaient leurs possibilités de fuite.

L'immensité de la campagne s'ouvrait devant les compères. Au loin on voyait un petit bosquet qui poussait comme une touffe au milieu d'un champs tandis que, encore plus loin, on pouvait observer le clocher d'une église.

"Content de te revoir, mais on doit partir, j'ai mis le feu à l'auberge. Ce village va finir en cendre et nous avec si on ne bouge pas. Il n'y a personne pour garder la sortie, allons y!"

" T'as raison, magnons nous ! "

Pierre et Aramis avait marché un peu et étaient en vue d'un village et d'une petite forêt.

* Soit on se cache dans le bosquet en guettant l'arrivée des deux autres, soit on les attend à la taverne. *

" Aramis, soit on va dans la forêt pour se planquer et on regarde s'ils arrivent, soit on les attend dans la taverne de ce village au loin, qu'est ce que t'en pense ? "

Les 2 elfes avaient le choix, ils pouvaient soi se cacher dans un bosquet en attendant leurs amis, soi aller se précipiter dans le village le plus proche pour faire la même chose. Aramis répondit à l'hybride :

"Je pencherais pour le bosquet, les gardes connaissent surement la ville d'en face, on serait piégés car je ne pense pas qu'ils feront l'erreur de nous laisser une opportunité de fuir une seconde fois. Et il est probable qu'il y ai déjà des gardes sur place. Le bosquet peut nous fournir un poste d'observation, un camouflage grâce aux arbres et éventuellement, un écran au cas ou on devrait fuir. Et puis là bas au moins, on pourra surveiller la sortie pour savoir si Llyk et Lucius sortent, ou alors quelle direction les gardes vont prendre. Cela nous permettra de nous préparer. C'est un lieu tactiquement efficace, et puis, nos racines sylvestre nous y donnent un avantage."

Donc, le sylvain commenca à se diriger vers le bosquet en tirant son ami par la manche :

"Autant ne pas trainer ici, courrons !"

Une fois arrivé, Aramis mit sur sa tête sa capuche, ses vêtements de couleur verte allaient être utile pour se camoufler dans la végétation. Il rangea son bijou frontale dans son sac, autant éviter de se faire repérer à cause d'un objet qui refléte le soleil. Il repéra un arbre d'où il aurait un bon point de vue et où il serait bien caché. Ne restait plus qu'à attendre...

Il ne fallut pas plus de quelques minutes aux deux sylvain pour grimper en haut de l'arbre. Les branches était suffisamment longues et larges pour être confortables, et les deux compères avaient d'ici une vue dégagée de la région. Le Soleil était à son zénith, mais les frondaisons les abritaient, la vie était belle. Néanmoins, quelque chose attira l'attention de Pierre. Il y avait là, tendu entre deux branches, un filin un peu lâche qui ressemblait à un hamac.

Pierre avait suivit Aramis dans la forêt. Ils avaient trouvé un arbre d'où ils pourraient guetter l'arrivée de Lucius et Llyk. L'arbre étaient gros et permettaient à Pierre d'être installer à son aise dans l'arbre. Pierre remarqua quelques chose :

* Là, à quelques mètres, c'est bien un hamac ??? Si quelqu'un a laisser son hamac là c'est soit qu'il est partit précipitamment, soit qu'il va revenir. Je penche plutôt pour la deuxième solution. Parlons en à Aramis, au cas où. *

" Hey Aramis, y a un hamac là (Pierre désigna le hamac d' un geste du bras), la personne qui y dormait pourrait être dans les parages !

A ces mots, Pierre se mît débous en équilibre sur sa branche pour mieux observer, et scruta les abords de l'arbre pour identifier un éventuelle menace.

Le sylvain qui était concentré à scruter la région n'avait même pas remarqué le hamac et fut par conséquent assez étonné quand il écouta les propos de son amis Pierre. Il regarda le hamac en question, c'était tellement irréel, être dans une situation comme la leur et être accueilli par un hamac vide. Aramis commença à analyser toute la zone où ils se trouvaient du regard, mais cela n'allait pas donner grand chose, il fallait s'approcher, s'avancer pour avoir plus d'information sur la situation. Le sylvain commença à ramper le long de la branche en disant à son compagnon:

"Je vais voir de quoi il retourne, reste là pour savoir si nos amis quittent le village, je t'appellerais si j'ai besoin d'aide."

L'elfe avança prudemment vers son objectif: le hamac. Tout ses sens à l'affût, prêts à esquiver flèche, piège ou autre choses pas très sympa. Finalement, il arriva à destination en une ou deux minutes, entreprit d'utiliser son sortilège de détection de vie afin de savoir s'il y avait quelqu'un dans les parages.

*Que se passe t-il, ici...*

L'elfe n'eut pas le temps d'utiliser son sortilège. A peine eût il posé la main sur la branche près du hamac que celle-ci cassa net, comme si elle avait été sciée, et l'envoya les quatre fers en l'air sur le sol, lui faisant perdre. Pierre lui même n'eût pas le temps de réagir qu'on l'attrapa par derrière violemment. Il reçu un terrible coup sur la tête.

Les deux amis se réveillèrent quelques minutes plus tard, ligotés, dans un étrange endroit. Ils était dans une sorte de petite pièce dont les murs, le plafond et le sol étaient composés de terre soutenue pas quelques petites poutres de bois vermoulue. Il y faisait froid et humide, et l'unique meuble de la pièce était un lit installé au fond.

Soudain, une partie du toit se souleva. En vérité, toute une partie du toit était uniquement composée d'une toile cirée imitant à la perfection la texture des autres parois. Quelqu'un, donc, souleva la toile cirée, entra et la rabattit immédiatement. L'homme était grand, entièrement vêtu d'une cape imitant elle aussi parfaitement la terre du bosquet, et avait le visage entièrement noire, recouvert de la même terre, hormis le contour des yeux. En vérité, il devait être véritablement invisible, ici. Il s'approcha des deux sylvains et le regarda avec un air plus qu'amical.

"Je suis désolé de ce mauvais traitement, mais vous avez trouvé ma cachette et je ne pouvais vous laissez repartir avant d'être en mesure de pouvoir partir rapidement. Alors messieurs les elfes, que venez vous faire dans ce bosquet perdu?"

Tout en parlant, il tira de sa cape une tasse, une poignée d'herbe et une petite gourde fumante. Il remplit la tasse avec les herbes, y versa de l'eau chaude, touilla le tout un instant avec une petite branche, puis bu le tout, tisane et herbe comprise.

Pierre était une fois de plus dans le pétrin par la faute d' Aramis. En effet, Pierre et Aramis n'avait pas eu le temps de voir ce qu'il de passait qu'ils avait été capturés et ligotés.

* Oh, ma tête... Qu'est ce que je fous là ? Aramis m'as mis dans la merde encore...je devrais l'appeler le galérien, il lui arrive que des merdes le pauvre. Ah !!! C'est qui ce type ?! *

Ce qui semblait être un toit s'était ouvert au dessus de Pierre, et un homme était homme était apparu dans l'ouverture. Il portait des vêtements qui lui permettaient d'être entièrement camouflé dans la forêt. L'homme entra, referma le toit et bu un breuvage inconnu de Pierre qu'il s'était préparé.

"Je suis désolé de ce mauvais traitement, mais vous avez trouvé ma cachette et je ne pouvais vous laissez repartir avant d'être en mesure de pouvoir partir rapidement. Alors messieurs les elfes, que venez vous faire dans ce bosquet perdu?"

* Si je lui répond trop précisément, il va attendre les autres et les capturer aussi, alors que s'il inflige leur présence ils peuvent encore faire quelque chose. Ça à l'air d' être quelqu'un qui connais son métier, je dirais...un malfrat en cavale. Mieux vaut ne pas essayer de m'attaquer directement. Par contre, il sait pas que je suis mage. Pis si je tente quelque chose Aramis ne me suivra pas, alors... *

" Je suis en cavale, comme vous. On allait manger, voyez-vous. Détachez-nous, on ne vous veux aucun mal, d'ailleurs je me fous d'avoir découvert votre cachette ! "

* Comment faire comprendre à Aramis qu'il faut vite sortir de là ??? *

" Je suis en cavale, comme vous. On allait manger, voyez-vous. Détachez-nous, on ne vous veux aucun mal, d'ailleurs je me fous d'avoir découvert votre cachette ! "

L'homme parût surpris mais éclata d'un rire franc et vif.

"En cavale? Oh monsieur, vous vous méprenez sur mon compte! Je m'appelle Lastalaïca. Palantir Lastalaïca. Agent au service secret de sa Majesté Silmarien, reine de la ville elfique de Macalaure! Alors vous êtes des malfrat? Je ne pensais vraiment pas que des sylvains puissent être considérés comme des criminels chez les Hommes! Haha! Je suppose que vous avez vu ce qui se passe à Teroal? Les hommes sont vraiment tous des barbares... il n'y a guère que leurs femmes pour redorer un peu leur blason... Pas aussi belles que les elfes, c'est vrai, mais beaucoup moins difficiles, et beaucoup plus ouverte! Haha! Vous en voulez?"

Il venait de se resservir une tasse et la tendait à ses deux captifs.

[Mon nom est Bond, James Bond Very Happy

]

Aramis s'était réveillé avec un léger mal de tête dans un endroit sombre, qui n'allait pas le rester longtemps, en effet, une personne tira se qui semblait être une toile et rejoignit les 2 amis qui étaient ligotés, mains devant. Ce n'était pas très utile face au 2 mages, ils auraient facilement pu le terrasser de différentes manières. Cependant, l'inconnu ne semblait pas hostile, après quelques instants, Aramis vit que c'était un homme parfaitement camouflé. Le mage écouta avec attention le bref échange qui avait eu lieu entre Pierre et le dénommé. Palantir Lastalaïca. Ce dernier avait pronnoncé son nom d'une manière qui avait un air de déjà vu mais l'elfe ne se reppela pas d'où. Finalement, l'elfe décida de prendre la parole tout en acceptant la tasse de thé:

"Volontiers merci. Nous ne sommes pas vraiment des malfrats vous savez, plutôt des personnes pourchassées par l'inquisition humaine sous prétexte d'être des elfes. Bref, rien de très original pour notre peuple. Les humains sont vraiment primaire et fermés d'esprit pour la majorité, c'est déplorable..."

On se serait cru à un dîner mondain où les gens parlaient de choses et d'autres, la situation était tout de même différente. Le sylvain bu une gorgé de thé, il en reconnu le goût immédiatement: jasmin! Il en buvait régulièrement quand il était en forêt, bien que là bas, on ne lui attachait pas les mains pour boire, cela ne le génait pas trop cependant. Il enchaîna:

"Je me présente, Aramis Kai sage des forêts de Simedän. Ne vous en faite pas pour vos méthodes je sais bien qu'elles sont nécessaire pour se protéger, il nous arrive de faire de même dans mon village quand des individus que nous estimons dangereux sont trop proches de notre village . Cela est nécessaire hélas, être découvert serait prendre un trop gros risque, les humains sont violent et pourraient nous attaquer... Enfin bref, votre thé est délicieux. Mais dites moi, que fait un représentant de nos forêts dans un endroit comme celui là? "

L'elfe parla à son compatriote normalement, comme s'ils se connaissaient. De quoi rendre sûrement Pierre perplexe...

* Tiesn donc, un espion des elfes ! Finalement, à quoi bon se montrer hostile alors que ce Lastalaïca ne l'est pas ?! Après tout avec Aramis on aurait pu facilement le maîtriser ! *

Pierre accepta le thé qu'on lui tendait tout en écoutant Aramis qui, à son habitude, se montra gentil et parlait à l'espion comme à un vieux copain. Aramis expliqua à l'homme qu'ils étaient pourchassés par l'Inquisition, ce qui parraissait à Pierre comme étant une bonne idée, puisque Lastalaïca étant un elfe, il ne devait pas non plus être copain des Inquisiteurs.

* Il ferait un bon équipié, avec un peu de chance il pourrait même nous être utile pour retrouver les deux autres. Attendons la suite, Aramis semble maîtriser la situation pour une fois ! *

"Hum..."

L'elfe tira un long couteau de sous sa cape et, tout en répondant à ses "hôtes", il entreprit de couper leurs liens.

"Je suis ici pour surveiller les relations diplomatiques entre les Humains... Nous sommes à l'aube d'une grande et terrible guerre, je vous le dis, et les elfes seuls ne peuvent la gagner. Seuls les Hommes peuvent vaincre la menace naissante, et par conséquent, nous n'avons aucun intérêt à ce qu'ils s'entretuent. Néanmoins, il semble évident que nous ne pouvons plus rien faire pour convaincre l'Empire de Mataniel que le moment n'est pas le mieux choisit pour une guerre Humaine... Enfin de toute façon, je fais mon travail... Enfin je fais ce que je peux, mais le contact que je devais rencontrer ici n'est jamais venu et avec la récente invasion de Teroal, je crois que je ferais mieux de rentrer chez moi faire mon rapport. De toute faç..."

Plusieurs craquements venaient de se faire entendre non loin de là. Quelqu'un devait marcher ici.

"Fiuu... Et bien quelle course! On risque d'avoir du mal à trouver où se loger dans les auberges, maintenant héhéhé!"

"Hum... ils ne doivent pas être nombreux... Si ils ont courut, c'est qu'ils sont peut être suivit... Je vais m'en aller, et vous devriez en faire autant. Simëdan est le seul refuge pour les elfes sur Urgôn, et je vous conseille de vous y rendre. Sur ce..."

Il se hâta d'en finir avec les liens de Pierre et souleva un draps du même genre que celui du plafond mais qui cette fois recouvrait la parois du fond et s'enfonça dans un chemin qu'il referma derrière lui en reposant le draps.

[Je propose la création d'un nouveau sujet pour notre rencontre]